--> Pour les enfants.
Je peux me vanter d'avoir fait écarquiller et/ou briller de nombreuses paires d'yeux grace à l'art du marionnetisme.
Sur un tout petit mouvement de tête, la magie arrive à se créer. L'enveloppe corporelle cotonnée de la peluche fait le plus gros du travail. Il suffit ensuite d'un minimum d'imagination et le tour est joué.
Même les adultes se font parfois prendre au jeu... avant de se rappeler qu'ils sont des adultes, et que ça se fait pas de "jouer" avec des peluches.
On a tous eu un doudou, boubou, panpan, nounours ... Il était souvent notre premier copain, notre première écoute, parfois même notre réconfort du soir. Notre premier amour ? Je ne sais pas si l'on peut aller jusque là.
Toujours est-il que la relation enfant-peluche est nostalgiquement attendrissante et j'aime en être le metteur en scène.
Par contre, je n'aime pas me muter en comédien et donner une voix à la peluche. Je n'accepterais cette charge, à la limite, qu'en étant ventriloque. Car qui n'aime pas Tatayet ?
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On est toujours un peu timide, au début.
Curiosité.
Interrogation.
Tu veux ma photo ?! un calin ?!
Pfiou, crevant le métier de modèle !
à 02:27