:: Voilà, je ramène quelques preuves compromettantes. :)
Arrivé en retard, 20h20 au lieu de 19h30 (merci la circulation et pardon aux voies de bus, ou l'inverse), je prends le temps d'offrir une coupe de champagne à Caro, qui a bien voulu m'accompagner.
La fosse s'étant transformée en boite à sardines, on monte au balcon. Il y reste peu de places et pas mal de gens sont contraints à la station debout, façon je fais des pointes comme une ballerine pour voir ne serait-ce qu'une mèche du chanteur... C'était noir de monde oserais-je dire.
On avait qu'à arriver à l'heure après tout.
Finalement, à l'entracte, on se trouve deux places, au fond.
Nous sommes entourés d'anglo-allemands et de quelques 'extraverties, ces dernières s'essayant aux cris de hyènes pour le rappel. Il y a du clin d'oeil.
Les Neubauten ayant une longue carrière derrière eux, le public est pluri-générationnel : ça va du du cadre quarantenaire ténébreux au petit fumeur de shit à casquette (il est partout celui-là ou quoi ??!!)... c'est dire le panel.
Comme on s'y attendait, le concert fut tantôt transcendantal, tantôt percutant.
Le matos expérimental est bien là : percussions, électro, air comprimé et les fameux instruments à vent faits maison.
Il était temps que je les vois sur scène, et comme souvent, on y gagne beaucoup !
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>> Désolé pour la qualité... c'est ça d'être au dernier rang.
à 21:16